Pascal Batard
Né en 1961 à chateauroux, je lis et écris de la poésie grâce à l'influence de deux profs de français de la sixième à la troisième, publié dans des revues scolaires, je m'essaie aussi à la chanson sans beaucoup de succès. L'écriture est toujours présente et essentielle, même s'il y a de longs tunnels sans elle. Devenu régisseur général de spectacle et éclairagiste, je parcours la France Dole, Poitiers, le Mans, Châtellerault et aujourd'hui Clermont-Ferrand ; publié dans plusieurs revues, je me rêve en vieux sage, en remplissant des pages de rêves et d'amertume, un silence important d’édition pour des lecteurs assoiffés de mer et de mes pages d’images.
Le génocide indien a beaucoup d’importance pour moi et, sans « verser » dans le chamanisme, je cherche la simplicité et l’ouverture au monde. Absolument pas concerné par les « poèmes » à petites fleurs ou amour toujours, je m’inscris dans une logique de vécu de ressenti d’imaginaire, parfois surprenant ou drôle quelques fois excessif ou fleurant le réel. Mes références puisqu’il doit y en avoir sont la poésie de Carver, Bukowski, Baudelaire, Prévert, Williams Carlos Williams, mais je reste attaché à moi, même si ces gens m’ont plus impressionné qu’influencé ! (Et j’en oublie tellement).
Je crache aussi, ça rend la voix plus claire.
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